Beaucoup de logements vacants en septembre
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Le taux d'inoccupation des logements demeure élevé au Québec. C'est ce que révèle un sondage réalisé du 3 au 9 septembre par la CORPIQ, qui a questionné plus de 1400 propriétaires de tous types d'immeubles situés dans les différentes régions du Québec, afin de savoir s'ils possédaient un ou plusieurs logements vacants.
Le taux d'inoccupation des logements demeure élevé au Québec. C'est ce que révèle un sondage réalisé du 3 au 9 septembre par la CORPIQ, qui a questionné plus de 1400 propriétaires de tous types d'immeubles situés dans les différentes régions du Québec, afin de savoir s'ils possédaient un ou plusieurs logements vacants.
Les résultats sur les taux d'inoccupation portent au total sur plusieurs dizaines de milliers de logements:
Chaudière-Appalaches | 2,2% |
Lanaudière | 3,2% |
Laval | 3,3% |
Saguenay-Lac-Saint-Jean | 3,8% |
Montréal | 3,9% |
Montérégie | 4,1% |
Outaouais | 4,4% |
Québec (Capitale-nationale) | 4,5% |
Centre-du-Québec | 4,5% |
Laurentides | 4,8% |
Estrie | 4,9% |
Mauricie | 5,4% |
Bas-Saint-Laurent - Gaspésie | 6,3% |
Abitibi-Témiscamingue* | 6,8% |
Près du tiers des répondants possédaient au moins un logement vacant. Parmi ceux-ci, de nombreux propriétaires gardent leur logement libre par choix plutôt que de le louer (29%).
Le manque de candidats locataires correspondant à leurs critères (49%) ou encore la nécessité d'effectuer des travaux (37%) sont les principales raisons évoquées par les bailleurs qui gardent un logement vacant par choix. D'autres ont déclaré ne pas vouloir gérer un bail en ce moment.
* l'Abitibi-Témiscamingue comportait moins de 500 logements dans l'échantillon