S.O.S Thermique : la solution québécoise idéale

Insecte dont la taille infime est inversement proportionnelle aux maux de tête qu’il cause, la punaise de lit est une des hantises de tout propriétaire d’immeubles locatifs. Le va-et-vient fréquent au sein des multilogements et les déménagements ne sont pas sans augmenter les risques d’infestation. Or, s’il peut sembler impossible d’enrayer définitivement une telle problématique, sachez que c’est tout à fait réalisable avec la technologie innovante de S.O.S Thermique.

Par Corinne Laberge

Contrairement aux traitements par insecticides traditionnels utilisés en extermination, l’éradication des punaises de lit par la chaleur permet d’atteindre la température nécessaire pour détruire les insectes, mais également leurs œufs, brisant ainsi le cycle d’infestation.

« Les répulsifs conventionnels ne peuvent pas tout régler. Puisqu’il faut savoir que les punaises de lit se mettent en mode hibernation et qu’elles peuvent rester pendant 14 mois dans un mur, sans même manger. On peut donc penser que c’est terminé après quelques mois, puis finalement elles reviennent un an plus tard. On ne sait jamais quand elles vont sortir de l’hibernation, explique le président de S.O.S Thermique, Roger Gaudreault. Alors qu’avec la thermie, en 5 heures il n’y a plus de punaises de lit. Le problème est résolu de fond en comble. »

Bien que des appareils thermiques soient disponibles aux États-Unis, ces derniers s’avèrent non seulement extrêmement onéreux, mais aussi complexes à installer sur le réseau électrique des bâtiments québécois. L’unité de chauffage S.O.S Thermique, entièrement conçue et fabriquée au Québec, est sécuritaire, adaptée à notre électricité et facile d’utilisation.

« Les machines américaines nécessitent un transformateur et un technicien chevronné pour l’installation. C’est à la fois complexe et très dispendieux, on parle de 2000 $ à 3000 $ de la pièce pour le traitement. Notre unité de chauffage a quant à elle été créée ici et peut être utilisée par le commun des mortel, concierge ou homme de main, ce qui permet de diminuer fortement les coûts de traitement, souligne M. Gaudreault. Un autre grand avantage de notre machine est son ventilateur, un élément qui permet de chauffer plus rapidement et plus efficacement en comparaison avec les appareils fabriqués aux États-Unis. La ventilation est très importante, car on veut que dans chaque coin de la pièce, il y ait un certain degré de chaleur atteint. L’unité chauffe donc à 133-135 degrés Fahrenheit pendant 4 heures. »   

Les propriétaires et gestionnaires d’immeubles locatifs ont ainsi accès à une technologie de pointe « made in Québec » dédiée au contrôle d’une infestation de punaises de lit. Posséder son propre appareil thermique permet un traitement simple, rapide, efficace et à coût réduit. « On peut traiter le logement d’un locataire dès les premiers signes et, si le problème revient dans les mois suivants, traiter de nouveau et ainsi de suite. Dans le fond, on élimine un intermédiaire, l’exterminateur qui coûte très cher, on fournit l’équipement nécessaire, on offre le suivi technologique, le service après-vente et la garantie. Puis les pièces sont disponibles au besoin puisque l’unité est fabriquée ici », fait valoir le président.   

Au-delà de l’efficacité et de l’aspect économique, il insiste enfin sur la dimension prévention. « Nous formons nos clients et leur offrons des protocoles de prévention pour éviter les récidives. Ce n’est pas on vient, on tue les punaises de lit et on s’en va. On évalue la situation avec vous, on vous aide à trouver les problèmes et à les régler, puis on vous équipe afin que vous puissiez être autonome », conclut M. Gaudreault.

 

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