Portrait du secteur locatif à Montréal et Toronto : un bilan qui montre des signaux positifs
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Le 3 décembre dernier, Le Devoir publiait un article exhaustif de l’évolution de la situation des locataires entre les deux principales villes du Québec et de l’Ontario.
Nous apprenions que le nombre de locataires qui dépensent plus de 30% de leur revenu mensuel brut a diminué entre 2016 et 2021. Bien que 28% des locataires de la grande région de Montréal soient dans cette situation, c’est tout de même 40% plus bas que Toronto selon la dernière enquête de Statistique Canada. Aussi, selon la SCHL, il faut 106 heures de travail par mois (comparativement à 178 pour Toronto) pour ne pas dépenser plus de 30% de ses revenus bruts pour se loger à Montréal. En bref, la situation des locataires s’améliore (comparatif 2016-2021 de Statistique Canada). Cependant, il ne faut surtout pas perdre de vue qu’il y a toujours des besoins impérieux de logement dans le Grand Montréal et que des investissements des gouvernements seront nécessaires. Nous sommes sur une bonne lancée qu’il faudra continuer pour encore améliorer la situation en 2023.
Prenez connaissance de l'article du Devoir : Une crise du logement à deux vitesses, de Montréal à Toronto