Le sentiment de regret ne justifie pas l’annulation d’une entente
Jugements
Une locataire se dit victime d’une manigance après avoir signé une entente de résiliation de bail selon une date de départ qui n’était pas celle à laquelle elle croyait avoir convenu avec la locatrice. La résiliation était prévue pour le 31 juillet et non le 31 octobre comme l’avait cru la locataire, car c’était aussi la date de la fin de son bail. Or, cette entente a été signée en présence de l’avocat de la locatrice, et non de son propre avocat. De plus, elle craint de perdre ses subventions gouvernementales à la suite de cette résiliation. Elle affirme donc avoir été victime d’une tactique contre elle.
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